Quelle tristesse. Quel gâchis aussi. Les mots
airmax pas cher manqueront certainement aux joueuses de
air max pas chere l’équipe de France ainsi qu’ÃÂ
nike air max pas cher leurs supporters pour résumer l’aventure
nike pas cher olympique qui a
pris fin
nike air max pas cher hier soir sur le parquet londonien de la Copper Box. Un parquet où les Bleues ont laissé beaucoup de larmes et sur lequel elles sont restées prostrées durant de très
longues minutes sitôt le coup de sifflet final. Encore sous le choc de l’ultime coup de poignard porté par les Monténégrines àla toute dernière seconde de jeu sur un penalty
de Bulatovic. Le score était alors de 22-22. On cherche, mais on ne trouve pas. Non, àl’évidence, il ne pouvait très clairement pas exister un scénario aussi dur et terrible
pour des Bleues qui avaient fait naître dans le sillage d’un premier tour enchanteur une pluie de promesses.
Invaincues durant tout le tour préliminaire, où elles avaient pourtant affronté ce qui se fait de mieux sur la planète handball, les joueuses d’Olivier Krumbholz ont donc perdu
le premier match qu’elles n’avaient surtout pas le droit de perdre. Et raté le rendez-vous qu’elles avaient avec leur propre destin. Les plus anciennes des Bleues avaient
appris àvivre depuis 2004 avec le cauchemar d’une demi-finale perdue d’un petit but face àla Corée du Sud. Elles devront désormais composer avec ce terrible coup d’arrêt et
cette impensable soirée qui a vu l’équipe du Monténégro revenir de nulle part alors qu’elle était menée jusqu’àla 57 e minute (21-20).